Panneaux solaires chinois : l'Europe met un terme à ses enquêtes anti-subventions - PV SOLAIRE ÉNERGIE

Panneaux solaires chinois : l’Europe met un terme à ses enquêtes anti-subventions

Selon le quotidien Les Echos d’aujourd’hui, des entreprises chinoises se sont retirées d’un appel d’offres pour concevoir, construire et exploiter un parc photovoltaïque en Roumanie, alors qu’elles faisaient l’objet d’une enquête de l’UE. Mais le marché européen reste largement ouvert aux panneaux chinois…
Cela n’aura pas traîné : un peu plus d’un mois après les avoir ouvertes, l’Union européenne a déjà clôturé ses enquêtes sur des offres d’entreprises chinoises pour un parc solaire roumain, ces dernières s’étant retirées de l’appel d’offres.
La filiale allemande du géant chinois Longi, producteur mondial majeur de cellules photovoltaïques, ainsi que deux filiales contrôlées par le même groupe étatique chinois Shanghai Electric, faisaient l’objet d’une enquête anti-subventions de l’UE.
Cette enquête avait été déclenchée à la suite de leur candidature – dans le cadre de consortiums – à un appel d’offres pour concevoir, construire et exploiter un parc photovoltaïque en Roumanie, partiellement financé par des fonds européens.
L’UE avait ainsi appliqué une nouvelle loi européenne obligeant les entreprises à notifier à Bruxelles leur participation à des appels d’offres publics.
Bruxelles cherchait à vérifier si elles n’avaient pas bénéficié de subventions étrangères pouvant fausser la concurrence. Si cela avait été avéré, les entreprises risquaient d’être exclues de l’appel d’offres.
« Le règlement sur les subventions étrangères garantit que les entreprises étrangères qui participent à l’économie européenne le font en respectant nos règles de concurrence loyale et de transparence », a commenté Thierry Breton, le commissaire au Marché intérieur, qui a annoncé la nouvelle.
Confirmant son retrait, Longi a affirmé qu’elle s’engageait à travailler avec ses partenaires à travers l’Europe pour l’aider à atteindre ses objectifs climatiques.
Lire la suite sur le site Les Echos

    

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